Un rendez-vous convenu entre mon chéri, moi et mon ami Sébastien pour le premier épisode de la Biennale d'art contemporain : la visite de la Sucrière.
Arrivés au coeur d'un quartier nouveau né à Lyon, la Confluence, certains bâtiments sortent à peine de terre, d'autres sont occupés depuis quelques mois. Une curiosité pressante et impromptue pour celui de la Région Rhône-Alpes nous happe, nous entrons dans une cour immense faite d'étages, de balcon et de passerelles sous un toit de verre. Un sentiment de grandeur à donner le tournis.
Une expo gratuite "les Enfants Terribles" centrée autour de 2 mouvements venus des Etats-Unis, le « Lowbrow » et le « Pop Surréalisme » nous tombent littéralement dessus pour un rendez-vous inopiné, et c'est un énorme coup de coeur énorme pour nous trois : Ödo, Naoto Hattori, Ray Caesar, Nicolas Thomas... Des oeuvres issues tout droit de nos pires cauchemars, habitées par une grâce, une esthétique parfaite, si bien qu'on aurait pu voir là un préambule à la Biennale dont le titre est "une terrible beauté est née"cette année.
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